Vic-le-Comte (com.)
Ch. l. de cant., Arr. Clermont-Ferrand 63270
Diocèse de Clermont
Fondation XVIIe siècle[1].
Fait partie de la classe d’ Orsan[2]
Autres prieurés du Puy de Dôme
Nonette: com., cant. St-Germain-Lembron, arr. d’Issoire , Puy-de-Dôme
Esteil: Com, cant. Jumeaux, arr. Issoire, Puy-de-Dôme (63570), Diocèse de Clermont. Prieuré fondé sous Pétronille de Chemillé, entre 1116 et 1149[3]. Fait partie de la classe d’ Orsan[4]
I – Sources manuscrites
A. D. Maine-et-Loire
Série H
235 H 1 : Fondation du prieuré 1629-1647
235 H 2 : Donations et procédures subséquentes 1643-1713
235 H 3 : Administration du prieuré 1646-1713
A. D. du Puy-de-Dôme
Série H
65 H 1, XVIIe siècle – XVIIIe siècle : Fondé en 1646 par le Sieur de la Salle François Cothon
Série Q
District de Billom, n°1156.
Série Fi
51 Fi 1484 : Plan cadastral section G de la Ville de Vic-le-Comte
Série P
P 10036/2 section G1820
II – Bibliographie
Ce prieuré n’est pas signalé dans la thèse de Bienvenu Jean-Marc
ALEIL P.F., MANRY A.G., POURNILHAC B, Le canton de Vic-le-Comte, Service Culturel municipal, 1991.
AUSSIBAL, L’art fontevriste, Ed. du Zodiaque, 1987.
BIENVENU (Jean-Marc), Abbaye royale de Fontevraud et ses divers prieurés, ss date.
CAVARD Jean-Claude, Esteil et son histoire et ses histoires, Esteil, 1986.
FOUILLOUX abbé Jean-Baptiste, Fiefs et châteaux relevant de la Comté d’Auvergne (capitale Vic-le-Comte), Ed. de Bussac, 1926, p. 498.
FOUILLOUX abbé Jean-Baptiste, Monographie d’une paroisse Vic-le-Comte, Le Livre d’Histoire, Paris, 2003, pp. 302-315.
LARDIER (Jean), La Sainte Famille de Fontevrault, 1650, pp. 678.
MANRY A.G ss la direction de, Histoire des communes du Puy-de-Dôme, Ed. Horvath, 1987, p. 297.
NICQUET H., Histoire de l’Ordre de Fontevrault contenant la vie et les merveilles de la sainteté de Robert d’Arbrissel et l’histoire chronologique des abbesses, Paris, 1642, pp. 534-535.
POULAIN Jean, Dictionnaire de l’Ordre Fontevriste, C.C.O, Abbaye de Fontevraud, Janvier 2000, p. 178.
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Vic-le-Comte est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l’aire urbaine de Clermont-Ferrand. Vic-le-Comte est située dans le Val d’Allier, à 19,6 km au sud-est de Clermont-Ferrand et 11,1 km au nord d’Issoire à vol d’oiseau.
Dès la fin du XIIe siècle, des tensions existent entre le comté d’Auvergne et son voisin du nord, le domaine royal. Guy II d’Auvergne, allié des Plantagenêt, de 1196 à 1210, entre en guerre avec les Français. Le comte Guy II est défait par les armées du roi de France Philippe Auguste suite au siège de Tournoël en décembre 1213 et une majorité de l’Auvergne est annexée par le royaume de France. Cependant, un petit territoire central de la Limagne autour de Vic-le-Comte est laissé aux mains de Guy II auquel l’on garantit l’indépendance.
La Comté d’Auvergne reste dans les mains comtales jusqu’au mariage de Catherine de Médicis, comtesse d’Auvergne avec le roi de France Henri II en 1533.
Dans le contexte des Guerres de religion, dans la lutte qui oppose la Ligue catholique au roi Henri IV, Vic subit un siège de vingt-sept jours et est conquise par la Ligue le 7 octobre 1589.
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Fondation, XVIIe siècle
Dans la région, le premier monastère fontevriste est établi à Esteil (Puy-de-Dôme)[5] sur les hauteurs dominant Jumeaux. En 1201, une religieuse de ce couvent, fille d’un comte d’Auvergne, nommée Sybille, fit construire un autre couvent de son ordre en un lieu appelé « Seveirag » qui depuis a pris le nom de Sainte-Florine (Haute-Loire). Du monastère de Sainte-Florine sont sorties les fondatrices de trois autres prieurés fontevristes :
-Brioude (Haute-Loire), en 1644, diocèse de Saint-Flour, sous le vocable de Saint-Joseph[6]
-Nonette (Puy-de-Dôme), en 1657, diocèse de Clermont
-Lamothe (Haute-Loire), en 1688, diocèse de Saint-Flour, sous le vocable de Sainte-Anne[7]
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Durant les guerres de religions, les habitants de Vic sont très attachés au catholicisme. En 1591, le duc de Nemours s’attaque à la ville en la soumettant à un sévère bombardement ; les habitants achètent son départ pour 75 000 livres. Vic est libéré mais ruiné. Au retour de la paix, Henri IV, pour permettre le redressement de la ville, lui accorde des exemptions d’impôts pour plusieurs années. A la suite des combats, les prêtres et moines se conduisent plus en homme de guerre qu’en gens d’église : abandonnant l’habit religieux, portant des armes, fréquentant les cabarets,…. En juillet 1629, l’évêque réformateur du clergé d’Auvergne, Joachim d’Estaing, doit prendre de sévères mesures contre eux.
Au milieu du XVIIe siècle, l’Auvergne comme le reste du royaume, connaît le renouveau du catholicisme. Les villes rivalisent de zèle pour appeler dans leurs murs des âmes vouées à la prière, à la prédication, à l’enseignement. En moins de cinquante ans, plus de quarante communautés d’hommes et de femmes s’établissent dans le diocèse de Clermont grâce à la générosité des personnages influents de l’époque.
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Fondation du prieuré fontevriste de Vic-le-Comte, essaimage d’ Esteil en 1646, sous l’abbesse Jeanne-Baptiste de Bourbon (1637-1670)

En 1645, au moment de la grande renaissance du catholicisme, en Auvergne, les dames d’ Esteil s’installent à Vic, leur couvent est situé près de l’hôtel de ville actuel[8].
Couvent fondé en 1646 : Pour la fondation, Marie-Madeleine de Solages de Tholet, origine du Rouergue et veuve de Jean de la Guesle[9] donne à cet effet 6000 livres payables en trois fois. Devenue veuve, elle continue à vivre dans son château de la Guesle aux portes de Vic avec sa sœur, Marie de Tholet, partageant son temps entre la prière et les bonnes œuvres[10]. Mme de la Guesle envoie une requête aux consuls afin d’obtenir l’installation de la communauté fontevriste : c’est-à-dire à François Cothon de la Salle, conseiller du roi, lieutenant particulier au baillage du comté d’Auvergne, Anthoine Vailhon, Claude Robert et Antoine Chouvy. Ceux-ci convoquent l’assemblée générale des habitants pour lui soumettre la demande et connaître la réponse qu’ils feront au nom du corps commun. Aucune opposition n’est faite à ce projet. Le couvent d’ Esteil est choisi pour fournir les premières religieuses de la nouvelle fondation. En sa qualité de premier consul, François Cothon transmet le droit de cité à Gilberte de la Volpilière, prieure d’ Esteil, par acte du 22 septembre 1645.
Les bâtiments sont donnés en 1646 par François Cothon, sieur de La Salle, conseiller du roi[11].
Mme de la Guesle est considérée comme l’une des principales fondatrices du prieuré fontevriste de Vic.
L’abbesse de Fontevraud donne commission à Jean Lardier, vicaire général et visiteur de l’Ordre dans la province d’Auvergne, pour procéder, en son nom, à tous les actes d’administration civile et religieuse. Les lettres de délégation sont datées de Fontevraud à la date du 19 septembre 1646[12]. Jean Lardier, François Cothon et Mme de la Guesle adressent la supplique de fondation à Mgr Joachim d’Estaing, évêque de Clermont, qui donne immédiatement une ordonnance d’enquête, le 18 novembre 1646. Les enquêteurs désignés sont M. Cothon, agissant au nom du roi ; l’abbé François Molin de la communauté des prêtres de l’église Saint-Pierre de Vic ; le père Prophète des Cordeliers de la ville, agissant au nom de son couvent ; Gilbert Audigier, doyen du chapitre de la Sainte-Chapelle du Palais, agissant au nom du chapitre ; les consuls en fonction , Guillaume Bonnel, Jean Vailhon, Annet Tixier, et Pierre Gaultier, agissant au nom des habitants[13]. Aucune opposition, l’évêque Joachim d’Estaing approuve la fondation[14].
Pendant ces négociations un asile est préparé pour les religieuses par François Cothon qui met à leur disposition la maison de la Salle située à l’ouest et hors de la ville, à quelques pas des fossés. « On y pénétrait par une porte crénelée, ouvrant au midy, tout près des remparts. Une allée plantée de tilleuls aux frais ombrages conduisait à la maison en traversant une cour longue de toises sur seize de largeur. Au bout de l’allée, un puits avec sa margelle couverte de mousses et son pavillon aux tuiles rouges rappelait les abords des vieux manoirs. Au-delà de l’habitation, un jardin spacieux, une prairie plantée de noyers, de pommiers, de poiriers, de pruniers et de cerisiers, enfin une terre labourable formaient un domaine clos de murailles et qu’allait bientôt arroser une source abondante. La maison à trois étages se composait d’un corps de logis rectangulaire flanqué de deux tours à créneaux, l’une au nord, l’autre au midi ». Au premier plan, la vallée de l’Allier ; à l’horizon la chaîne des plus hauts massifs du centre de la France.
L’acte de donation est passé, le 5 décembre 1646, en faveur de Jean Lardier et de la prieure d’ Esteil Gilberte de la Volpilière. Ils s’engagent à construire dans l’église du prieuré une chapelle aux armes de François Cothon, dans laquelle un tombeau sera édifié pour lui et ses successeurs.
Le 14 décembre 1646, Mgr d’Estaing rend le décret de fondation et établissement de la nouvelle communauté.
Enfin, le 3 avril 1647, les 6 premières religieuses professes sont installées dans la maison de la Salle : Gillette de la Volpillière,[15], Suzanne de Frétat de Lorme, Hélène Deshorts, Cécile de Peuchaud ou de Puy-Chalin, Françoise Chalon, Marie Garnier.
Les religieuses donnent à Marie de la Guesle, en reconnaissance, le privilège d’entrer dans le monastère avec sa suivante toutes les fois qu’elle le désirera. Sa vie durant, elle aura, en qualité de fondatrice, une chambre dans le monastère pour y séjourner, quand elle viendra faire sa retraite. Le droit de sépulture lui est accordé ainsi qu’à sa sœur.
Elles accueillent des jeunes filles de la bourgeoisie locale pour faire leur éducation.
La prieure d’ Esteil, Gillette de la Volpillière est chargée de l’organisation de ce nouveau prieuré dont elle prend la direction en 1646 après avoir été 21 ans prieure d’ Esteil[16].
1647 : Anne-Marie d’ Oradour entre comme postulante au prieuré d’ Esteil. Mais à la fondation du monastère du même ordre à Vic-le-Comte, elle obtient l’autorisation de faire partie du nouveau monastère pour la consolation de sa mère qui était veuve et habitait Vic-le-Comte. Marie-Catherine de Seymiers donne 3000 livres pour la dot de sa fille et 3000 livres pour contribuer à la fondation du monastère. En 1688, Anne-Marie d’ Oradour est dépositaire ou économe de son couvent[17]. Une autre postulante d’ Esteil, sur le point de prononcer ses vœux, demande de venir dans le monastère de Vic-le-Comte : c’est Anne de Peuchaud, proche parente de Cécile de Peuchaud et cousine de Anne-Marie d’ Oradour. Sa tante Françoise d’ Oradour lui avait donné 3000 livres, le 18 octobre 1643, pour favoriser son entrée en religion. Sa mère, Anne d ’Oradour, lui avait donné 2300 livres pour sa dot. L’évêque de Clermont et l’abbesse de Fontevraud lui donnent l’autorisation de passer du couvent d’ Esteil à celui de Vic-le-Comte[18].
Louise-Françoise de Rochechouart (1704-1742)
1728 : 13 religieuses[19].
Malheureusement la disparition total des archives de la maison ne nous a pas permis d’apprécier l’importance du pensionnat qui devait recevoir la plupart des jeunes filles de la bourgeoisie locale. Un document, le règlement des comptes de tutelle de demoiselles Gabrielle et Gilberte de Cothon, fille d’Antoine Cothon dévoile les frais de l’éducation au monastère de Vic et nous donne le nom des religieuses :
Charlotte de Passart, novice en 1655 ; elle signe un accord avec Jacques-Louis de Gironde, écuyer, seigneur du Montel
Anne Puylon en 1655
N. de Circou
Françoise du Lac, + en 1662 ou 63
Thérèse Moylon de Vic-le-Comte, prieure en 1686 ; elle succède à Suzanne de Frétat qui avait succédé à Gillette de la Volpilière
Gabrielle de Fredeville, boursière du monastère en 1686
Antoinette-Jacqueline Mantaigue, + en 1758 ou 59
Marie de Chassaigne de Sereys, future prieure en 1753
Révolution Française
La dernière abbesse Julie-Gillette de Pardailhan d’ Antin (1765-1792)
A la Révolution, le monastère se compose de dix religieuses de chœur et quatre converses : Marie-Élisabeth Amariton du Bost, dite de Monfleury ; Marie-Hélène Amariton du Bost, dite des Quaires, sœur de la précédente, née en 1727 à Vic-le-Comte ; Anne-Marie de Chassaigne de Sereys, née à Usson le 2 juin 1762 ; Marie Coubret, née à Vic-le-Comte le 6 mai 1752 ; Marie Boyer ; Marie Diton ; Charlotte Larouvrette ; N du Saulnier ; N. Tixier ; N. Desserre ; et les quatre converses : Anne Julhiard ; N. Leyras ; Marie Hodour ; Marie Manlhiot.
Une autre religieuse a quitté le monastère pour cause de santé, en 1782, et s’est retirée dans sa famille à Issoire : c’est Marie Bonniol qui avait fait profession le 22 mai 1783. Durant la Terreur, elle quitte Issoire pour Parentignat pensant être moins exposée à la persécution. Mais la police révolutionnaire perquisitionne son domicile et amène quelques papiers qu’elle jugea compromettant. Elle comparait devant le comité de surveillance d’Issoire, le 2 Thermidor, An II (30 juillet 1794). Interrogée, elle est mise en état d’arrestation, et la liberté lui est rendu trois mois après, le 24 octobre 1794, par le représentant du peuple Musset. Nous ne connaissons pas le sort des autres religieuses : Cinq se trouvent à Vic-le-Comte en juillet 1795 : Marie Coubret, Anne- Marie de Chassaigne de Sereys, les deux sœurs Amariton du Bost et Marie Manlhiot. Appelées devant la municipalité le 3 mai 1795, elles déclarent se soumettre au gouvernement de la République et de ne pas troubler l’ordre[20].
Pendant la Terreur, et dans le cadre de la politique de déchristianisation menée par le comité de Salut Public, la commune prend le nom de Vic-sur-Allier.
En 1793, le monastère est vendu comme bien national avec les dépendances qui se trouvent dans la commune d’ Ironde-et-Buron. Le monastère et son enclos contenant 5 septerées sont vendus aux enchères le 6 mai 1793 moyennant le prix de 10800 livres.[21]. Il se trouve actuellement à l’emplacement de la Médiathèque, de l’école des garçons et plusieurs maisons particulières.
Le souvenir des moniales de Fontevraud se perpétue dans le nom du quartier de la ville appelé « quartier des Dames » et par le nom de l’impasse qui mène à l’ancienne église des moniales « Impasse des Dames».
Une légende rapportée par un habitant de Vic-le-Comte raconte que des moniales fontevristes, durant la Terreur, auraient été murées vivantes dans le prieuré. J’espère que cela ne reste qu’une légende.
Iconographie


En 1830, la priorale est scindée en deux, elle est achetée par deux habitants de Vic-le-Comte, la parcelle située à l’est côté chœur, n° 1659, appartient à M. Chaslus Gilbert, la partie à l’ouest côté façade, n° 1661, à M. Ronzier Jean-Baptiste, le n° 1661 attenant à l’église est la maison commune, celle-ci est accolée à l’église et masque la façade ouest de la priorale[22]. On remarque les traces d’une rosace sur la façade occidentale de l‘ancienne église du prieuré de Vic-le-Comte.

On aperçoit les traces d’une ancienne rosace. Photo JGE 2022
On observe une nef unique que l’on retrouve dans le prieuré fontevriste d’ Esteil, mais aussi dans les édifices de la région toulousaines comme à Lespinasse, Longages, Paravis. La priorale, encore existante, est remarquable par ces dimensions. C’est une construction rectangulaire à abside à pans coupés.



La disposition des fenêtres laisse voir que l’édifice a été divisé en deux parties :
-soit du temps des moniales, l’une servant de chœur aux religieuses et pensionnaires, l’autre destinée aux personnes du dehors qui venaient assister aux offices
-soit après la Révolution par la division en deux parties lors de l’achat par les deux habitants de Vic-le-Comte.
« L’état actuel de la construction démontre qu’il n’y a jamais eu de voûte, mais un plafond « appuyé sur une corniche en pierre très saillante qui se développe tout autour de l’édifice et « sert de couronnement intérieur aux murs. (photo)
« La toiture, à deux pentes, est supportée par une charpente à forme triangulaire, d’une « exécution qui semble ne rien laisser à désirer sous le rapport de la solidité[23].
Les baies sont en plein cintre. Elles sont au nombre de sept sur chacun des grands côtés, trois dans la partie n°1661, quatre dans la partie n° 1659 près du chœur. On remarque un cordon de pierre de taille saillant et continue.


Rénové en 1982, c’est actuellement la bibliothèque intercommunale et une salle municipale destinée aux expositions.
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Prieures de Vic-le-Comte
Nom | Date | Références |
Gillette de la Volpillière | 1646 | Lardier, p. 678. |
Suzanne de Frétat | A.D. Puy-de-Dôme 65 H 1. | |
Thérèse Moylon | 1686 | A.D. Puy-de-Dôme 65 H 1. |
Marie de Chassaigne de Sereys | 1753 | A.D. Puy-de-Dôme 65 H 1. |
[1] BIENVENU Jean-Marc, Abbaye royale de Fontevraud et ses divers prieurés, ss date, p. 12.
[2] NICQUET H., Histoire de l’ordre de Fontevrault contenant la vie et les merveilles de la sainteté de Robert d’Arbrissel et l’histoire chronologique des abbesses, Paris, 1642, pp. 534-535.
[3] BIENVENU Jean-Marc, Abbaye royale de Fontevraud et ses divers prieurés, ss date, p. 5.
[4] NICQUET H., Histoire de l’ordre de Fontevrault contenant la vie et les merveilles de la sainteté de Robert d’Arbrissel et l’histoire chronologique des abbesses, Paris, 1642, pp. 534-535.
[5] Diocèse de Clermont
[6] LESPINASSE Julien abbé, Chroniques du Brivarois, Un peu d’histoire locale, Ed. « Almanach de Brioude », pp. 37-39.
[7] RELIGIEUSES de Boulaur exilées à Vera, Histoire de l’ordre de Fontevrault (1100-1908), p. 238.
[8] MANRY A.G ss la direction de, Histoire des communes du Puy-de-Dôme, Ed. Horvath, 1987, p. 297.
[9] Seigneur du dit-lieu de Vic, de l’ Anglade et du Chariol.
[10] FOUILLOUX abbé J.B., Monographie d’une paroisse Vic-le-Comte, p. 303.
[11] A.D. Puy-de-Dôme 65 H 1.
[12] FOUILLOUX abbé J.B., op. cit., p. 304.
[13] FOUILLOUX abbé J.B., op. cit., p. 305.
[14] CAVARD Jean-Claude, Esteil et son histoire et ses histoires, Esteil, 1986.
[15] LARDIER (Jean), La Sainte Famille de Fontevrault, 1650, p. 678.
[16] LARDIER (Jean), op. cit., 1650, p. 678.
[17]FOUILLOUX Jean-Baptiste. chanoine, Fiefs et châteaux relevant de la Comté d’Auvergne (capitale Vic-le-Comte), Ed. de Bussac, 1926, p. 498.
[18] FOUILLOUX abbé J.B., op. cit., p. 308. Archives du Puy-de-Dôme évêché, liasse 20
[19] A.D. Puy-de-Dôme 65 H 1.
[20] FOUILLOUX abbé J.B., op. cit., pp. 313-314.
[21] A. D. Puy-de-Dôme, série Q, district de Billom, n°1156.
[22] A. D. Puy-de-Dôme, série P, P 10036/2 section G.
[23] FOUILLOUX abbé J.B., op. cit., pp. 309-310.