Domaine
Com. Saint-Germain-du-Seudre[1]
Cant. Saint-Genis de Saintonge
Arr. Jonzac
Charente Maritime (17)
Diocèse de Saintes
Fondé entre 1116 et 1149 sous Pétronille de Chemillé
Autres prieurés de La Charente Maritime
Saint Bibien ou Saint-Bibian[2], com. Vouhé, cant. Surgères, arr. Rochefort, Charente-Maritime (17), diocèse de Saintes
Sainte-Catherine de la Rochelle, com., cant. et arr. La Rochelle intra-muros, Charente Maritime (17), diocèse de Saintes , fondé de 1149 à la mort d’Henri II Plantagenêt (1189)[3]
Agudelle, cant., arr. Jonzac, Charente Maritime, diocèse de Saintes, fondé sous Robert d’Arbrissel

Tiré de BRAHIM Agnès, Les prieurés fontevristes dans le duché d’Aquitaine, p. 93.
I – Sources manuscrites
A. D. du Maine-et-Loire
135 H – Prieuré de Cormeilles
135 H 1 : Administration intérieure du prieuré 1763-1764
135 H 2 : Bail du temporel du prieuré XVIe – XVIIe
135 H 3 : Droits de patronage 1643
A.D. Vienne
2 H 5/33 : Titres concernant les dîmes dues au monastère dans les paroisses de Bonnes et de la Bussière.
24 Fi 8/41: FRAD086 : fonds René Crozet (1896-1972) : photographies d’archéologie et d’histoire de l’art : 2 vues de l’église
B.M. Poitiers
FONTENEAU dom, Manuscrit, t. 46, p. 137 et suite.
II – Bibliographie
AUSSIBAL A., L’art fontevriste, Ed du Zodiaque, 1987. (JGE)
BIENVENU (Jean-Marc), Les premiers temps de Fontevraud (1101-1189). Naissance et évolution d’un Ordre religieux, Thèse pour le doctorat Es Lettres, Faculté des Lettres de l’Université de Paris-Sorbonne, Paris, 1980, pp. 311, 316, 318, 344.
BRIAND abbé, Histoire de l’ Eglise de Saintonge et d’Aunis, t. 1, p. 566.
CROZET René, L’art roman en Saintonge, Paris, 1971.
EGRETEAUD, Monographie de Saint-Germain-du-Seudre, Rec. com. Char.-inférieure, XI, 360.
JOANNE, Dans la vallée de la Seudre, chapelle romane ruinée, seul reste de l’abbaye de Cormeille, 1872.
LABRUYERE François-Julien, A la recherche de la Saintonge, Paris, 1971.
LARDIER Jean, La Saincte Famille de Font-Evraud, 1650, p. 340, 578, 666.
LARDIER Jean, Trésor de Fontevraud, vol. 1 de l’Inventaire des affaires qui regardent l’Abbesse, 1649, pp. 127, 129, 367 ; vol.II.
Le Petit Journal, octobre 2020.
POULAIN Jean, Dictionnaire de l’Ordre fontevriste, CCO, Abbaye de Fontevraud, 2000, p. 45.
RAINGUET Pierre Damien, Études historique, littéraires et scientifiques de l’arrondissement de Jonzac, 1864.
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La commune de Saint-Germain-du-Seudre se situe dans le sud-ouest du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle Aquitaine, dans l’ancienne province de Saintonge. La commune est traversée par la Seudre.
« À l’ouest du bourg et au fond d’une vallée solitaire, sur la rive gauche de la Seudre, lieu admirablement choisi pour la vie contemplative, on voyait encore au commencement de ce siècle (XIXe s.), les imposantes ruines de l’abbaye de Cormeilles, ordre de Fontevraud »[4].
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Fondation
Anciennes graphies
Cormeille (Lardier, p. 341), Cormeilles (A.D. Maine-et-Loire), Cormeil (plan cadastral napoléonien)
Fondé entre 1119 et 1131 : Le privilège pontifical d’Innocent II du 20 janvier 1131 fait mention pour la première fois de Cormeilles (diocèse de Saintes)[5]. Donné par un seigneur de Mortagne-sur-Gironde en forêt de la Lande au sud-ouest de Pons[6].
Prieuré transformé en domaine au XVIe s[7].
Audeburge de Haute-Bruyère (1155-1180)
Sous Audeburge, troisième abbesse, le pape Alexandre III favorise le monastère de Fontevraud et tout l’Ordre et met l’abbaye sous sa protection, confirme les différents lieux et membres dépendant de Fontevraud dont le lieu de Cormeille[8] dans l’évêché de Saintes à 2 lieues de Pons ; 1 lieue de Mortagne et 1 de Saint-Fort, du don de Hélie de Tisi, de Benoît de Mortagne, de Bernard de Porrelain ; l’accordant ainsi Pierre, évêque de Saintes[9].
Adèle de Bretagne (1228-1244)
Avril 1232 : Guillaume de Blanzac lègue « tout ce qui est dans ma maison dans la rue Aguliera, aux moniales de Cormeille ainsi que trois quartaux de froment dus en redevance par Jarnac »[10].
Guerre de Cent Ans (1337-1453)
Les malheurs de la Guerre de Cent Ans dépeuplent la région et les communautés. L’abbaye de Fontevraud ne compte plus que 10 à 20 moniales. La pauvreté est générale, les rentes en argent et nature ne sont plus payées à cause de l’abandon de l’exploitation des terres. Les prieurés, les domaines, les locaux d’exploitation comme les granges, les moulins et les fours se retrouvent à la fin de la Guerre de Cent Ans dans un état lamentable. La quasi-totalité des prieurés de l’Ordre ont subi des destructions.
Marie d’ Harcourt (1431-1451)
1438 : f. Pierre Mousnier, prieur[11].
1441 : Sr Jeanne Rousseline, prieure et f. Louis Pinot, coadjuteur[12].
1444 : bail de la maison de Ruffac[13].
1448 : f. Vincent Morel, prieur[14].
Marie de Montmorency (1451-1457)
1453 : présentation à la cure de Saint-Germain-du-Seudre dépendant de Cormeilles à l’évêque de Saintes de f. François Charpentier[15].
1456 : baille du moulin à vent dit Rataux paroisse de Saint-Fort pour 2 quartiers de froment de rente et 1 quartier de mousture. La même année existe un bail de terres, marais, prés, bois, buisson sis entre la chapelle et l’hôtel de Soulte dans la ville de Pons [16]..
Plusieurs autres baux de bois, landes, pièce de vignes au bourg de Saint-Germain.
Marie de Bretagne (1457-1477)
Suite de la Guerre de Cent
À la pauvreté matérielle s’ajoutent l’absence de vocations et l’insubordination des religieux et des moniales. En 1460, la plupart des prieurés ne comptent plus que 2 à 5 religieuses et 1 à 2 religieux[17].
Il faudra attendre Marie de Bretagne (1457-1477) pour qu’un mouvement de réforme s’ébauche. Elle va se faire aider surtout par Guillaume de Bailleul, religieux vicaire général de l’abbesse puis prieur de Saint-Jean-de-l’Habit. Il est chargé de dresser un état du temporel de l’Ordre de Fontevraud. Le pape Pie II autorise Marie de Bretagne à « supprimer et esteindre quelques prieurés qui seroient hors espérence de se pouvoir remettre et tout ensemble permis d’appliquer le revenu à la Crosse de l’Abbesse et à la Mense du Grand Monastère »[18].
1457 : Sr Jeanne Boutarde, « gouverneresse » de la maison de Ruffac, fait un bail du moulin de Ruffac dépendant de Cormeilles[19].
1466 : f. Jean Potier, prieur[20].
1467 : une maison appelée le Village de l’Habit a été baillée à rente pour 35 livres, 2 quartiers de froment, 4 boisseaux d’avoine et 4 chapons. Confirmation par la prieure et le prieur d’un bail à rente de la moitié du Village de l’Habit à Jean Jouvin et l’autre moitié à Jean M…..[21].
1467 : un différent entre Jean Potier, prieur de Cormeilles, et Cuault, curé de Saint-Germain, pour les dîmes de la paroisse[22].
Anne d’Orléans (1477-1491)
1480 : visite par un religieux de l’Ordre de Fontevraud, prieur de Saint-Ladre. f. Jean Boucheron[23] du prieuré, du dortoir, chapitre, réfectoire et la chapelle de l’Habit où se trouve 80 religieuses et visite de l’église paroissiale[24].
1480 : visite par l’évêque de l’église paroissiale de Saint-Germain-du Seudre[25].
Renée de Bourbon (1491-1534)
1491 : f. Michau Gressin, prieur[26].
1495 : Sr Renée de Pourpace, prieure résigne sa fonction pour Françoise de Marconnay[27].
5 mai 1497 : Renée constitue prieure de Cormeilles sœur Françoise de Marconnay à la place de sœur Renée de Pourpace qui l’a délaissé et obtient une pension de la part de Madame[28].
1497 : f . Jean Viard, prieur[29].
1515 : f. Mathurin Vérité, prieur.
Louise de Bourbon (1534-1575)
Guerre de religion 1562-1578
1539 : f. François Bouguide, prieur[30].
27 novembre 1563 : bail à rente du moulin de Rufac fait à Chinon[31].
1569 : Louise de Bourbon ordonne que tous les officiers, fermiers de la région de Loudun fassent « aux lieux leur profession de foy »[32].
Jusqu’au XVIe siècle, le prieuré est divisé en deux parties bien distinctes comme à l’abbaye mère, siècle où éclate une grande révolte contre l’autorité spirituelle et temporelle.
Il semble que c’est pendant les guerres de religion que l’abbesse de Fontevraud voyant que le prieuré de Cormeille est « exposé à mille outrage », retire les moines et les moniales de ce vallon isolé. Elle concède à un bail perpétuel les terres à des paysans et se réserve l’enclos autour de l’église qu’elle afferme avec droit de seigneurie, par bail de 9 ans, dont elle tire encore en 1768 un revenu de 1200 livres.
Le prieuré est devenu un domaine ou une seigneurie directement géré par l’abbaye.

C.P. Pap. J; Prévot, Ed. Saintes
Louise de Bourbon de Lavedan (1611-1637)
1617 : Madame l’abbesse de Saintes demande à Madame l’abbesse de Fontevraud d’échanger un prieuré non conventuel appelé Montpoullin alias Paulin-en-Anjou qui se trouve à une lieue de Baugé, pour le prieuré de Cormeilles[33][34].
La transaction n’a pas eu lieu comme le confirme Lardier dans son inventaire des fermes dressé en 1649. Ensuite nous le retrouvons dans l’inventaire du syndic de Saumur en 1791. Il est bien devenu un domaine directement géré par l’abbaye
Jeanne-Baptiste de Bourbon (1637-1670)
Cormeille se trouve citer dans l’inventaire des fermes dressées dans Lardier en 1649.
Marie-Madeleine-Gabrielle de Rochechouart de Mortemart (1670-1704)
1692 : dans la déclaration de biens ecclésiastique de la cure de Saint-Germain du Seudre du prêtre Simon David déclare « bien qu’il soit en droit de percevoir toutes les dîmes de la paroisse de Saint-Germain du Seudre, de quelques natures qu’elles puissent être, néanmoins il n’en jouit qu’une partie, l’autre lui étant usurpée par l’abbesse de Fontevraud qui prend celle de l’étendue du fief de Cormeille, situé en la dite paroisse, qui va à plus du tiers au total étant le meilleur fond rapportant. Pour cela aucune rétribution à l’église ni même aucun service. Les villages situés dans la dite enclave de Cormeille étant fort peuplés et éloignés de leur église auxquels il leur administre les saints sacrements comme à ses autres paroissiens pour raison de quoi le sieur David ne retire aucune rétribution, et qu’au contraire la dame abbesse l’oblige à aller dire la messe quatre fois l’année en l’église et abbaye de Cormeille »[35].
Louise-Françoise de Rochechouart de Mortemart (1704-1742)
1712 : Existence d’un Mémoire de Louise-Françoise de Rochechouart de Mortemart, abbesse de Fontevraud, prieure du prieuré de Cormeilles, qui prend fait et cause de son procureur fiscal, contre dame Charlotte de Saint-Mathieu, les demoiselles Barbot, etc[36]. (à retrouver)
Julie-Gillette de Pardaillan d’ Antin (1765-1792) dernière abbesse
1768 : le domaine de Cormeille rapporte encore 1200 livres[37].
1772 : Robert et Pignon de Saint-Fort ont en bail le prieuré et payent 24 livres d’impôt[38].
Révolution
15 juin 1791 : Merlet, procureur syndic de Saumur, après l’inventaire de l’abbaye de Fontevraud, envoie 11 sacs, 3 liasses et une petite liasse contenant les titres de la ferme de Cormeille qui contiennent principalement des baux à fermes, des procès-verbaux de visite et une reconnaissance des vases sacrés et ornements de la chapelle dudit lieu. Tous ces documents sont envoyés au district d’ Apons le 31-01-1791 : procès-verbal et recollements par le syndic de Saumur : Merlet procureur syndic. Ce qui confirme que l’ancien prieuré de Cormeille était bien devenu un domaine directement géré par l’abbaye.
Cet ancien prieuré est vendu à la Révolution à de nombreux acquéreurs et principalement à M. Hardy de Saint-Fort. Puis, il est passé entre de nombreuses mains. René-Hélie-Auguste de Saint-Léger d’ Orignac, député de Jonzac de 1821 à 1829, achète en 1822 le domaine de Rail qui, à cette époque, comprend le prieuré de Cormeille et sa chapelle[39].

Sous l’Empire, ils sont revendus à deux reprises et les acquéreurs mettent tout en œuvre pour détruire les bâtiments[40].
Iconographie
Prieuré de Cormeilles

Au début du XIXe siècle, Pierre Rainguet signale l’existence des ruines du prieuré de Cormeilles, à l’ouest de Saint-Germain-du-Seudre sur la rive gauche de La Seudre : « Les 4 murs de la chapelle ont seuls survécus à toutes ces ruines. Cette chapelle est de construction romane, est très étroite, 5 m sur 24, Le petit clocher ne contenait qu’une seule cloche de 200 à 300 livres. La façade de l’édifice composé d’un portail et de deux fausses portes (deux portes aveugles) est d’un rare mérite d’exécution. Les portes sont surmontées de trois archivoltes dont la plus élevée est chargée de pointes de diamants. Les chapiteaux des colonnes portent deux rangées de dents de scie, des pilastres supportent tous les cintres concentriques et ils étaient encadrés par quatre colonnettes dont une seule subsiste »[41]. (Photo)
Existe encore une colonne ronde avec chapiteau sans sculptures et tailloir avec un double rang de dents de scie. Au mur sud, subsistent des vestiges de contreforts plats[42].
Au dire de personnes anciennes, il existait à l’Ouest une autre chapelle aux dimensions bien plus vastes et dont les restes ont disparu il y a 50 ans. De tous les souvenirs religieux du passé, le seul qui subsiste est le 6 mai de chaque année réunit une nombreuse population de maîtres et de serviteurs des deux sexes. Cette fête de Saint-Jean-Porte-Latine[43] était-elle, jadis, la grande solennité de l’ordre de Fontevrault?.
Saint-Germain-du-Seudre
L’église de Saint-Germain-du-Seudre, fondée au XIe siècle, est achevée au XIIe s. et restaurée au XVIe s. après sa destruction partielle pendant les guerres de religion. Le curé était à la nomination de l’abbesse de Fontevrault. Pendant la Révolution, le curé, Baudry de la Garenne, refuse de prêter serment ; il est déporté.

L’église présente un portail à voussures décorées, surmontées d’un clocher carré, une nef éclairée de fenêtres gothiques et un chevet plat à voûte d’ogives prismatiques. Les colonnes rondes romanes adossées aux murs ont des chapiteaux sculptés. Le vieux cimetière qui l’entourait a été détruit.
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Liste des prieures de Cormeilles
| Sr Jeanne Rousseline | 1441 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| Renée de Pourpace | Avant 1495 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| Françoise de Marconnay | 1495 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
Liste des prieurs de Cormeilles
| Pierre Mousnier | 1438 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| Louis Pinot | 1441 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| Vincent Morel | 1448 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| Jean Potier | 1466 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| Michau Gressin | 1491 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| Mathurin Vérité | 1515 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
| François Bouguide | 1539 | LARDIER Jean, Thresor, pp. 128-130 |
[1] AUSSIBAL A. ; L’art fontevriste, 1987.
[2] LARDIER Jean, La Saincte Famille de Font-Evraud, 1650.
[3] BIENVENU Jean-Marc, Abbaye royale de Fontevraud et ses divers prieurés, p. 9.
[4] RAINGUET Pierre Damien, op. cit., p. 115.
[5] BIENVENU (Jean-Marc), Les premiers temps de Fontevraud (1101-1189). Naissance et évolution d’un Ordre religieux BIENVENU, p. 311.
[6] BIENVENU, op. cit., p. 316.
[7] POULAIN Jean, Dictionnaire de l’Ordre fontevriste, p. 45.
[8] LARDIER Jean, La Saincte Famille de Font-Evraud, 1650, p. 341.
[9] LARDIER Jean, op. cit., p. 340.
[10] Le Petit Journal, octobre 2020.
[11] LARDIER Jean, Thresor, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[12] LARDIER Jean, Thresor, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[13] LARDIER Jean, Thresor de Fontevraud, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[14] LARDIER Jean, op. cit., lettre C, pp. 128-130.
[15] LARDIER Jean, op. cit., lettre C, pp. 128-130.
[16] LARDIER Jean, Thresor, inventaire, lettre C, pp. 128-130
[17] LARDIER, op. cit., p. 561.
[18] NICQUET (H), Histoire de l’Ordre de Fontevrault……, p. 479.
[19] LARDIER Jean, Thresor de Fontevraud, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[20] LARDIER Jean, Thresor de Fontevraud, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[21] LARDIER Jean, Thresor de Fontevraud, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[22] LARDIER Jean, Thresor de Fontevraud, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[23] Religieux de l’Ordre de Fontevraud, prieur de Saint-Ladre, mort à Fontevraud en 1489.
[24] LARDIER Jean, Thresor de Fontevraud, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[25] LARDIER Jean, Thresor de Fontevraud, inventaire, lettre C, pp. 128-130.
[26] LARDIER Jean, op. cit., pp.128-130.
[27] LARDIER Jean, op. cit., pp.128-130.
[28] LARDIER Jean, op. cit., p. 378.
[29] LARDIER Jean, op. cit., pp.128-130.
[30] LARDIER Jean, op. cit., pp.128-130.
[31] LARDIER Jean, op. cit., pp.129.
[32] LARDIER, op. cit., p. 628.
[33] LARDIER Jean, op. cit., p. 666. Inventaire du Thresor, lettre C, p. 129.
[34] POULAIN Jean, op. cit., p. 45.
[35] Le Petit Journal, octobre 2020.
[36] BESSE dom, Abbayes et prieurés de l’ancienne France Province ecclésiastique de Bordeaux, p. 248,
[37] Le Petit Journal, octobre 2020.
[38] Le Petit Journal, octobre 2020.
[39] Le Petit Journal, octobre 2020.
[40] RAINGUET Pierre Damien, Études historiques, littéraires et scientifiques de l’arrondissement de Jonzac, p. 117.
[41] RAINGUET Pierre Damien, op. cit., p. 118.
[42] Dictionnaire de l’ordre monastique de Fontevraud.
[43] Fête de l’Église de Rome en l’honneur de l’apôtre et évangéliste Jean.
